En Juillet, nous sommes partis, mon épouse et moi, dans le Nord. Nous avons fait étape dans un hôtel de CHARTRES, dont nous voulions visiter la cathédrale.
La nuit s’est bien passée. Le matin, je prends ma douche. J’en sors et j’enfile mon pantalon. A ce moment, j’entends un bruit de serrure. Je regarde vers la porte qui s’entrouvre et, dans l’encoignure, j’aperçois le visage de la femme de chambre qui me regarde, stupéfaite ! Elle pensait que la chambre était vide ! Son visage n’a pas changé de couleur…. car elle était noire ! Mais j’ai compris qu’elle était en plein désarroi !
J’ai failli éclater de rire en ayant, forcément, une pensée pour DSK !
Les commentaires à la télé
Après le début de l’affaire, avez-vous remarqué cet incroyable défilé de personnalités, invitées à faire part de leurs commentaires ?
Leurs commentaires consistaient surtout à dire qu’ils n’avaient rien à dire. La présomption d’innocence, l’absence de témoin (évidemment !) dans la suite qu’occupait DSK, font que nous avons eu droit à une pléiade de commentaires faits par des commentateurs qui n’avaient aucun commentaire à faire sur une affaire pour laquelle ils avaient accepté de venir commenter.
Pour toutes ces personnes venues dire à la télé qu’il n’y avait rien à dire, le pire, peut-être, était de ne pas être invité à la télévision.
Quant à moi, pour revenir à ma chambre d’hôtel de CHARTRES, heureusement, je ne suis pas DSK, mais seulement JPH, et je suis nettement moins connu !
Jean-Paul HUART