En 2004, Station Terminus, mon premier roman édité, fut chaleureusement accueilli par de nombreux Amicalistes. Cette aventure éditoriale n’est plus aujourd’hui qu’un bon souvenir mais, ceux qui me connaissent le savent, je n’ai pas cessé d’écrire, sans éveiller, jusqu’à ce jour, l’intérêt d’un éditeur.
Le 29 mai 2009, j’adressai un thriller, Les Seigneurs d’Amaury, aux Editions du Pierregord, qu’un auteur ami m’avait chaudement recommandées, et j’eus la joie de recevoir un avis favorable de leur comité de lecture. Le 16 avril 2010, je signai mon contrat d’édition (les délais sont toujours très longs dans l’édition) pour une parution au mois d’août 2011, avec la satisfaction que vous devinez et la garantie d’une excellente distribution de mon livre sur le territoire français et dans les pays francophones.
Les délais se sont quelque peu raccourcis puisque mon roman devrait sortir des presses de l’imprimeur le 10 mai prochain pour une mise dans les bacs des libraires le 2 juin.
Je vous propose donc aujourd’hui Les Seigneurs d’Amaury en avant-première. Vous trouverez en encart du présent numéro du Beffroi la fiche de lecture établie par mon éditeur qui, je l’espère, vous incitera à acquérir ce « chef-d’œuvre ». Vous pourrez trouver d’autres informations sur le site internet des Editions du Pierregord : « http//www.editionspierregord.com ».
Le prix de vente est fixé à 22 euros et je n’ai pratiquement aucune latitude pour vous proposer une ristourne intéressante sur ce prix sans risquer les foudres de la corporation des libraires. Les seules possibilités légales de remise à l’occasion du lancement d’un livre sont de 5% pour une vente à un particulier et de 9% pour une vente à une association, remises soumises à l’abandon des droits d’auteur. Les exemplaires que vous achèterez vous seront donc vendus au prix de 21,00 € (après remise de 5%) par l’Amicale qui les aura acquis au prix de 20,00 € (après remise de 9%) et encaissera ainsi un « petit » bénéfice de 1,00 € par exemplaire. Dura lex, sed lex.
J’espère de tout cœur que la lecture de mon roman, Les Seigneurs d’Amaury, vous procurera autant de plaisir que j’en ai pris à l’écrire.
Jean-Marie DUMARQUEZ